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L’humanité, pieds et poings liés
L’humanité, pieds et poings liés
Continue de rêver
D’un monde meilleur à vivre
D’un monde meilleur aux sourires
D’un monde douceur
Certainement rempli de fleurs
De soleil sur le visage
De rêves, de plages
Des chants d’oiseaux
Beaux sont tous ses idéaux
Quand aux cieux il s’abandonne
À rêver d’être une norme
Il rêve, le petit être
De ses beaux jours sur la terre
De son paradis
Mais le paradis de qui ?
De l’oppressé face à l’oppresseur
Qui lui au contraire vit bonheur
À qui appartient donc la réalité
Dans le monde des sublimés
Puisque ce qui rend l’un heureux
Rend un autre malheureux
Mais le peuple, faut le contenir
L’empêcher de réfléchir
Le conditionner au sein même de ses pensées
Pour lui donner le sens à ses idées
Dans la grande illusion de la liberté
Du changement de mentalité
Le roi, lui, sera toujours roi
Ses sujets marcheront au pas
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