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Lettre à vous les enculés,
Par cette économie monétaire, vous êtes le poison qui pourrit cette terre. Vous asservissez l'humanité toute entière. Vous faites crever des peuples sous la misère. Vous proclamez l'argent roi, vous condamnez celui qui n'en a pas. Mais qu’est-ce que vous croyez les gars ? ça peut pas continuer comme ça !
C'est pas pour rien qu'il élève sa voix, le petit peuple crucifié sur la croix. Il est temps que vous vous mettiez à changer. Que vous revoyiez certaines priorités. Vingt-cinq mille personnes chaque jour meurent de faim pendant que vous vous nagez avec des dauphins. Ne croyez-vous pas qu'il est temps de mettre en commun les ressources de la terre pour chacun ? Qu'il est temps de baser l'économie sur le bien-être et non sur lebudgétaire ?
Vous qui avez mis à genoux plus d'un pays, tout cela pour le profit, regardez où il nous mène votre mépris Dérèglement climatique, la bouffe a le goût du chimique, la mise à feu de nos rizières, les forêts partent en poussière et puis tous ceux qui crèvent sous la misère. Regardez un peu tout ce que vous faites faire. Des pays rentrent en guerre,mafia, cartels, organisations criminelles .. (criminelles…) quelles raisons cela auraient t'il d'exister (cela aurait-il d’exister s’il n'y avait pas de fric à gagner ? Vous monétisez nos vies alors qu’elles n'ont pas de prix. Vous traitez le peuple comme un accessoire. Comment pouvez-vous encore vous regarder dans le miroir ?
Et puis, il y a vous tous ! les milliardaires qui construisez des empires sous leurs glaives qui font que cette économie prolifère. Vous qui achetez les médias pour leur dicter ce qu'ils peuvent dire ou pas. Les meurtres et les guerres sont retransmis mais les crève-misères, on les oublie. Ceux qui ne vous servent pas, ceux qui ne vous rapportent) pas. Qu'il est plus simple de laisser mourir que de faire vivre pour mieux manipuler la masse sous le diktat des comptes bancaires. Parce qu'il est plus simple de manipuler la terre entière sous le couvert de la peur en semant la terreur au milieu de nos paupières.
Vous avez réduit le petit peuple à l'esclavage, des pantins pris dans l'engrenage qui vendent leur temps de vie pour pouvoir rester en vie. Elle est pas belle cette ironie ? Juste pour pouvoir se dire que demain il ne sera pas relégué au banc des oubliettes, vous qui lui servez juste des miettes. Ce petit peuple qui se crève à la tâche, que vous asservissez à votre bon vouloir. Lui qui, à chaque fin de mois se demande s’il y arrivera ou pas. Pendant que vous vous pavanez, que vous claquez des milliards à construire vos putains de tours d'ivoire.
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